La vidéoprotection,
un enjeu pour la sécurité

La caméra devient un outil analytique et prédictif d’analyse comportementale destiné à détecter les anomalies dans les déplacements de foule.
La lutte contre l’insécurité, les incivilités et les troubles à la tranquillité publique est un véritable enjeu. 

BIEN VOIR POUR SÉCURISER ET MIEUX COMPRENDRE

NOTRE MISSION

La vidéoprotection permet de renforcer les fonctions essentielles de tout dispositif de sécurité.

Par sa capacité dissuasive et le rôle qu’elle peut jouer dans l’élucidation des délits, la vidéoprotection est devenue au fil des années un outil de lutte contre « la délinquance et le sentiment d’insécurité ». 

Les enjeux sont majeurs ! La qualité de l’ensemble du système et des images enregistrées est un facteur primordial pour une exploitation et un résultat optimal.

En effet, de nombreux usages de la ville peuvent être mesurés et analysés par des caméras. Les dispositifs de comptage (piétons, cycles, voitures) sont déjà efficaces. 

POURQUOI GOJON-SILETRA ?

SÉCURITÉ

CONSEIL

PROTECTION

INNOVATION

NOS DERNIÈRES RÉALISATIONS

L’intelligence artificielle au service de la vidéoprotection pour rendre nos territoires attractifs, sûrs, communicants et connectés.

UN SYSTÈME DE VIDÉOPROTECTION PERFORMANT

La vidéoprotection permet en temps réel ou différé de :

  • Dissuader (présence d’une surveillance visible et permanente)
  • Détecter (tout événement ou comportement anormal)
  • Identifier (un individu, un véhicule, un objet…)

POURQUOI GOJON-SILETRA ?

SÉCURITÉ

VISIBILITÉ

CONFORT

LA MAINTENANCE

Gojon Siletra vous accompagne pour l’entretien et la maintenance de vos équipements. 

MAINTENANCE CURATIVE

MAINTENANCE PRÉVENTIVE

MISE EN CONFORMITÉ

LA RÉGLEMENTATION

Toute mise en place de caméras de vidéosurveillance, y compris en milieu public, est très réglementée et doit répondre à des conditions strictes d’emploi.

Afin d’obtenir l’autorisation d’installer des caméras, la municipalité doit faire produire une étude de sécurité par les forces de l’ordre (police nationale ou gendarmerie).

Suite à cet audit, le préfet doit donner son accord.
Un document détaillé reprend alors le nombre de caméras, les technologies employées, leurs emplacements et leurs champs.

Les caméras ne doivent pas porter atteinte à la vie privée.